samedi 26 octobre 2013

Je Zermate #2

Cela fait maintenant 2 semaines que je me suis lancée dans mon Zermatage mais aussi 2 semaines que j'ai décidé de rompre avec ma balance. Du coup, je voulais revenir un peu sur ces 2 semaines justement pour voir où j'en suis face à tout ça. Histoire de faire des bilans réguliers puisque que je ne suis pas suivie (ni par un site web, ni par une diététicienne agréée G.R.O.S) et que j'ai décidé de mener ma barque toute seule. Justement, comment je m'y prends ?

D'abord, j'ai demandé à ma sœur de me prêter le livre de Zermati parce que je ne le trouve plus à la bibliothèque et que malheureusement il ne se vend plus en poche sur Amazon (ni nulle part d'ailleurs). Parallèlement à ça, je relis consciencieusement les billets de Caroline du blog Pensée By. La méthode Zermati propose de noter nos journées dans un cahier reprenant le quand on a faim, quand on mange, pourquoi, etc... J'ai décidé de ne pas le faire. Pour la simple et bonne raison que j'ai tellement pris le plis de noter avec Weight Watchers, que j'ai l'impression que de reprendre à noter mes journées, va me faire retomber dans mon délire de contrôle et de fixette. Par contre, je me pose justement bien les questions avant de manger "pourquoi je mange ? par faim ? par envie ? en ai-je vraiment envie ? est-ce une pulsion que je peux contrôler autrement, etc ... " Partant de tout ces éléments, voici comment j'ai vécut mes 2 dernières semaines.


Je me suis rendue compte que je mangeais... TOUT LE TEMPS. Et pas forcément par faim, ni même par envie. Avec mes collègues, on parle de bouffe tout le temps, on est toutes des gourmandes. On a pris cette habitude de presque toujours ramener quelque chose : un paquet de biscuit, des raisins, une pastèque, des cacahuètes,... Il ya toujours quelques choses à grignoter, dans une idée de partage et de bonne ambiance. Et souvent, je mange.... Pour faire comme tout le monde. Parce que c'est devant mon nez, ça devient une sorte d'automatisme et je ne prends pas forcément conscience de ce qui entre dans ma bouche.

Toujours dans cet idée d'automatisme et de "je mange tout le temps", j'ai pris conscience aussi que je mangeais par "devoir". Même si je sais que je ne dois pas et que personne ne m'a mis un couteau sous la gorge, je m'étais installée dans un petit rituel qui me rassurait. Un petit déjeuner quotidien, à 9h un café au lait, à 10h ding-ding, heure d'une collation (peu importe quoi), à 11h un café, à 12h30 ding-ding repas du midi, à 14h un coca light, à 16h ding-ding collation,... Comme si pour que ma journée se passe bien, pour me rassurer et bien voir que les heures avancent il fallait que j'ai quelque chose sous la dent: soit boire, soit manger.

Depuis que je me pose les questions "est-ce que j'ai vraiment faim, est ce que j'ai vraiment envie, est-ce une pulsion ou de l'ennui ?", je mange vachement moins. J'ai souvent zappé mon petit déj parce que le repas de la veille était pas encore digéré. Du coup, je décale ma journée "type" en prenant une grosse collation quand j'ai faim. J'ai passé 2 journées sans boire de café parce que finalement j'en avais pas vraiment l'envie ni le temps. Quand mes collègues ramènent des trucs je me demande si j'en ai vraiment envie ou pas. Et vraiment, c'est dingue, mais je mange beaucoup moins ces 2 dernières semaines.

Je ne me prive pas. J'ai bien sûre des vieux automatismes qui me font dire que c'est mieux de manger ceci ou cela, mais j'essaye de me demander si j'ai vraiment envie de ça. Que si je dois manger autant le faire par plaisir. Petit bémol, ces 2 dernières semaines, mes bananes et mes pommes ont répondus aux abonnés absents. J'essaye de me dire que ce n'est pas grave, que je finirai bien par en avoir envie un moment ou un autre. Mon repas du soir lui, se déroule comme d'hab car j'ai souvent la dalle quand je rentre du boulot.

C'est VRAI ! Le fait de ne plus se priver et de manger ce qu'on veut, désacralise la nourriture. Crois-le ou non, j'ai 4 paquets de chips dans mon armoire qui n'ont pas bougés (alors que normalement, ils ne durent pas).  J'ai moins envie de pâtisseries, parce que si j'en ai envie d'une, j'attends la faim, je la mange avec délectation. Ou j'en mange sans faim mais par réel envie, et j'attends que la faim reviennent pour le prochain repas.

C'est vrai aussi que lorsqu'on mange quand on a faim (mais genre moi j'ai poussé ma faim un peu trop loin parce qu'à chaque fois j'avais les crocs) et bien on a un sentiment de bien être quand on mange. A chaque repas je me suis dit "oh mon Dieu que ça fait du bien de manger". Et du coup, j'ai pas culpabilisé une seule fois au court de mes repas parce que manger devenait un besoin animal voir vital assouvis.

Étrangement, je n'ai pas eu de petites envies de grignotage. Par contre, le soir en rentrant j'avais tellement faim que j'ai à chaque fois mangé genre 2 gaufrettes (chips) au fromage, et ça a adoucit mes moeurs. Parce que bon sang quand j'ai faim, je suis dans une impatience de dingue.

Je ne sais pas si j'ai maigris, puisque je ne peux pas me peser avant le 03/11 (règle de moi), mais j'ai l'impression que je suis plus légère dans mes vêtements. C'est hyper difficile pour moi de ne pas me peser, chaque matin je dois me faire violence pour ne pas sortir la balance. Mais d'une autre façon, je sais que ma balance n'a pas dicté mon humeur du jour. Que je ne me sens pas grosse à cause d'elle. Parce que souvent quand le chiffre ne me plaisait pas, automatiquement je me sentais dans un mal être, comme boudiné dans mes vêtements. Pas une seule fois ces 2 dernières semaines j'ai eu ce sentiment de boudinage. Cependant, j'ai quand même hâte de monter dessus..... Je suis pas encore guérrie de la balance.

Voilà Voilà. Ce n'est que le début de mon aventure, mais je suis déjà contente de ce début. 
Et toi dis moi ? Zermati ? Pas Zermati ? Tu en es où ? Tu as des conseils à partager ?


Crédit photo : We heart it

jeudi 17 octobre 2013

Je Zermate #1

Je suis une belle hypocrite. Oui. C'est ce que je ressens. Là. Maintenant. Enfin,... Depuis quelques jours... Depuis cet article. Depuis que je me suis rendue compte que je donnais des bons conseils que je ne suivais pas. Oh non, je ne suis pas en train de jouer la Victime, mais bel et bien mon rôle de Juge. Certes, je suis trop sévère avec moi même en disant que je suis une hypocrite. Et pourtant, d'une certaine façon, c'est ce que je me dis.

A vrai dire, depuis dimanche j'écume les blogs de Zermati. J'ai passé mon après midi à lire celui de "Te Parler de ma vie" et je me suis remise à lire celui de Caroline. Comme à la recherche de quelque chose qui m'aurait échappé. Du Savoir ! Me disant que je ne comprenais pas, que ce livre je l'avais lu, ce reportage, je l'avais vu, où est ce que j'avais buggé ?

Puis il y a eu ma soeur. Elle que j'ai envoyé chez une diététicienne agréé G.R.O.S et pratiquant le Zermatage. Je n'ai pas pu la regarder droit dans les yeux et lui dire "Au fait tu sais quoi ? Depuis 1 mois je compte mes points WW".

Tu vois. Une hypocrite.

Alors, j'ai re-suivi le bon conseil d'une amie et je suis revenue sur mes pas. J'ai été recherché mes articles sur Zermati et je les ai lu. Enfin, vite fait. J'en suis revenue à la conclusion du Juge en moi. Mais cette fois, pas question de laisser parler la Victime. Pas question de me lamenter, de me dire que je ne vais pas y arriver. Non, par contre, cette fois, je dois m'écouter moi. Avoir confiance.

J'en fait une belle de comique pas vrai ? Lire Zermati et croire que un mois plus tard, mes problèmes seraient résolus. Comme ça. Comme par de l'enchantement de Mère Nature. Eh beh non. Parce que depuis cet article, du poids j'en ai pris. Weight Watchers, je l'ai repris 2 fois. Et franchement, je vais arrêter tout de suite de me flageller après cette phrase, mais je ne suis pas fière de moi. On avait qu'à dire, que tout ça, c'était juste un mauvais départ. L'étincelle à allumer le feu, maintenant, il faut l'alimenter. Persévérer. Y croire.

Alors dimanche soir, lisant mes blogs et tirant mes conclusions, j'ai envoyé un mail à mes 2 meilleures amies. A celles qui m'aiment telle que je suis. Qui m'aiment peu importe ce que je porte et ce que je pèse. Je leur ai parlé de confidence, de grand changement. Je leur ai même dit que non, je n'écrirai pas d'article la dessus (hypocrite), mais voilà. Ce pacte, j'ai besoin de le sceller. J'ai besoin de le faire cheminer. J'ai besoin de changer, de parler, de partager. De partager avec des filles qui comme moi peuvent parfois douter. J'ai envie de faire ma petite révolution. Pas pour prouver quoi que ce soit, mais juste, pour le faire. Pour apprendre, pour laisser une marque, une preuve. Un passage à l'acte. Faire, de mon mieux.

Voilà ce que ce pacte disait.

Si les études démontrent qu'il faut 21 jours pour se sevrer d'une mauvaise habitude, je dis, moi, Odile Sacoche, que je vais me sevrer de ma balance. Et que je ne me pèserai pas pendant 21 jours. A partir de ce jour, je m'engage (à suivre les accords toltèques, ouais ça, on sait) à Zermater pour conclure avec mon corps un nouvel accord. Et cet accord est le suivant: mon corps et moi, nous sommes les meilleurs amis du monde, parce qu'on sait s'écouter, qu'on sait se parler, qu'on sait faire la paix et ce dans le respect, dans la non-frustration. Il me parle quand il a faim, et je l'écoute quand je le nourris. C'est aussi facile que ça.

Je m'étais toujours juré de ne pas mener ce genre de "combat" via mon blog. De ne pas parler de démarche d'amaigrissement. Mais j'en reviens au prémisse de ce blog. J'ai ouvert Tartines et moi, par besoin. Besoin de parler, de marquer par des écrits. Besoin de m'accepter. J'en suis là aujourd'hui. Retour aux sources et pour le plus grand des biens.

Par la présente, je marque donc d'un hashtag mon premier Zermatage. 



PS: j'ai rangé l'hypocrite au placard. Pour de bon cette fois. Bon débarras !

Crédit photo :  We heart it

mardi 15 octobre 2013

Des Toltèques à Zermati.

J'avais écris un article complètement différent de celui-ci. Un article de plainte. De, "Regarde lecteur, je suis comme toi, pas toujours empreinte de sagesse, et parfois pleine de doutes". Je m'étais dit que je le publierai. Puis ce matin je me suis levée. Il faisait froid, il pleuvait, j'avais envie de cocooning. Je me suis alors mis en boule dans le canapé, avec mon petit plaid, et Jules qui me tenait compagnie. J'ai ressorti "Les 4 accords Toltèques", mon livre de chevet du moment, et j'ai continué ma 2eme lecture là où je l'avais laissé quelques jours auparavant.

Dans le livre, Don Miguel fait référence au Juge et à la Victime qui sont en nous et qui régissent notre vie comme deux parasites. Le Juge, te flagelle à coup de jugement, de tu-dois-faire-ceci, sens toi coupable, fais pénitence. Et la Victime, se plaint : elle se plaint d'elle même, de l'autre, de sa vie, des choses qu'elle ne réussit pas. Le Juge et la Victime peuvent être très bon amis comme les pires ennemis. Il y a énormément de dialogues entre eux. Le Juge fait son procès à la Victime, et la Victime s'en défend, rendant ce combat  interminable. 

Alors que je lisais ces lignes, sur le fait qu'il fallait arrêter de faire parler le Juge en nous et/ou la Victime, je repensais à mon article que j'avais écris la veille. C'était un article sur mon poids, que je n'arrive pas à contrôler, ou plutôt que je contrôle trop. Un article sur mes Zermatages ratés, sur mon addiction aux régimes,à ma balance et à ce foutu chiffre inscrit dessus. Et puis j'ai décidé de me positionner autrement face à cet article. J'ai essayé d'être Don Miguel, j'ai essayé d'être ma meilleure alliée. Celle là qui me rappelle ces accords que je m'étais promis de suivre. Je me suis dit que non seulement dans cet article je laissais complètement parler le Juge en moi (tu dois être mince) mais en plus, la Victime lui répondait allégrement (mais je n'y arrive pas j'en ai assez des régimes). En lisant, je me suis demandé face à quelle croyance je pouvais être, quel était le boulet à mon pied qui m'empêchait d'avancer. J'ai repensé à ce qu'on m'avait dit plus jeune, à l'éducation que j'avais reçue, et sans chercher de coupable, j'ai essayé de mettre des mots sur ma croyance. Et j'en suis arrivé ici. Attention âme sensible, si tu me lis, ce qui va suivre va peut être te paraître dure.

Je crois, qu'une fille mince et en bonne santé physique est belle. Et je ne te parle pas des mannequins photoshopées, car travaillant dans la mode, je sais qu'elle représente une fausse réalité. Non je te parle de la fille en bonne santé qui ne flirte pas avec l'IMC dangereux. Celui qui te dit que "attention ma cocotte, si tu continues comme ça, tu vas prendre cher dans 10 ans". J'aimerais être cette fille qui peut manger ce qu'elle veut, libre de sa balance. Et oui, je crois qu'il y a des filles qui peuvent manger tout ce qu'elles veulent sans culpabiliser, que je ne suis pas une de ces filles. Et enfin, je crois que si je veux maigrir, je dois me contrôler. Je dois avoir de la volonté.

Voilà... Je l'ai écrit.

Le problème c'est que ces croyances m'empêchent d'avancer, mais qu'en plus de cela, elles me foutent carrément la trouille. J'ai la trouille de monter sur cette balance et qu'elle me dise qu'il est trop tard, que mes gros os sont foutus, mon cholestérol puissance dix et que je vais avoir de l’arthrose précoce. J'ai la trouille de manger un truc trop gras, trop sucré, trop salé et de le payer le lendemain. J'ai la trouille de grossir. Et c'est justement là le problème avec les croyances, c'est qu'elles découlent de la peur. Que cette peur t'empêche d'être libre.

Ce jour là, j'ai discuté avec ma meilleure amie qui était infirmière. Je lui ai parlé de mon freaking contrôle. De cette peur de l'IMC trop haut. De mon ras le bol du contrôle pour des résultats ridicules, d'une remarque récente reçue de quelqu'un de mon entourage proche (tiens, la voilà la raison de ma croyance). Et qui mieux que elle pouvait comprendre, puisqu'elle était infirmière. Même si elle n'a jamais eu de problème de poids, voilà ce qu'elle m'a dit:
"Etre trop gros c'est dangeureux, oui. Mais être trop mince, c'est dangereux aussi. Et tu sais quoi ? Tu fais du sport, tu es active, au delà du fait que le muscle pèse plus lourd que la graisse, actuellement, sur ce point, tu es en meilleure santé que moi qui suis sédentaire. Et pourtant, à en croire ta balance, tu es plus lourde que moi. Alors tu ferais bien de lâcher prise avec cette balance. "

Alors que je t'écris ces lignes, je réfléchis encore. A ma croyance, à Zermati, ce mage du 21°S que je ferais bien de relire et de suivre. Et à cet article que j'ai lu hier qui disait que si tu es capable de te battre et de te donner les moyens pour t'affamer, pourquoi ne serais-tu pas capable de te battre pour écouter ton corps ? Je veux me libérer de cette croyance, je veux être cette fille qui mange ce qu'elle veut sans culpabiliser. Comme je te le disais, il est temps de créer de nouveaux accords, et de réaliser que je suis autre chose qu'un chiffre sur une balance.



Crédit photo : We heart it

dimanche 13 octobre 2013

Quand les relations deviennent simplissimes


L'autre jour, j'étais au téléphone avec une personne proche. Nous étions en train de passer un moment agréable à papoter de tout et de rien, mais je ne sais pourquoi, elle se mit à aborder un sujet houleux. Un sujet qui fâche. Et tandis qu'elle s'aventurait sur cette pente glissante, et que je sentais mon sang commencer son tour, le petit nagual qui sommeille en moi me tapa doucement sur l'épaule. A ce moment là, je compris que je n'avais pas à me lancer dans cette discussion. Non pas que je devais prendre la fuite comme une voleuse, mais simplement, je n'avais rien à prouver. Je n'avais pas à tenter de lui faire entendre raison. Pour la simple et bonne raison que cette personne, n'a pas les mêmes croyances que moi (ou du moins, ne les a plus).

Soudainement, vivre des relations saines m'est apparu relativement simple en suivant la voie des 4 accords Toltèques. Il n'est pas nécessaire de se disputer, pas nécessaire de s'emporter, pas nécessaire de vouloir absolument avoir raison. Car les choses sont simples. Personne n'a raison, et personne n'a tort. Nous avons tous chacun, des croyances différentes. De part notre éducation, notre parcours, notre vécut ou de part ce que la société nous inculque. Longtemps j'ai lu et on m'a dit que je devais faire mes propres choix, et longtemps je ne comprenais pas comment m'imposer. Comment dire haut et fort "j'ai choisi d'être comme ceci, j'ai choisi de dire cela, j'ai choisi de vivre ma voie". Et bien la réponse est simple comme bonjour. Il n'y a rien à imposer, rien à prouver, rien à faire accepter. En réalité, il n'y a pas de bataille ou de rébellion à mener. Parce que c'est comme ça, chacun a ses croyances. Et quand on comprend ça, tout devient tellement plus facile.

Autre exemple qui illustre bien la sage voix des accords Toltèques.

Je discutais par mail avec une copine. En fait, j'avais trouvé quelque chose dont j'étais sûre mais à 100% que cela lui fera plaisir. Première erreur, ne jamais rien supposer, mais c'est seulement en écrivant cet article que je prends conscience comme les suppositions peuvent aller bon train en nous pourrissant la vie. Bref. Je lui envoi ce mail disant que j'ai trouvé LE truc qui lui ferait plaisir m'attendant à ce qu'elle bondisse de joie. Première constatation, elle ne bondit pas de joie. Deuxième constatation, ce n'est pas ce qu'elle cherchait. Passant ma déception du moment, je me décide de repartir à la recherche d'une autre idée. Cette fois c'est sûre, j'allais lui faire plaisir. Après une petite journée de recherche, c'est bon, je trouve LE truc. Je lui envoi un mail pour dire que pas de problème j'ai enfin la solution. Je repars dans mes suppositions m'attendant à ce que cette fois elle saute de joie. Mais non. Finalement, elle avait réussi, entre temps à se contenter de ma première idée. 

Je t'avoue qu'à ce moment là, j'ai commencé à marmonner en moi même, me disant que vraiment, quel manque de gratitude, moi qui avait fait de mon mieux pour la satisfaire. Et je partais dans mon univers sombre pestant de plus belle. 

C'est alors qu'à nouveau, le petit nagual qui sommeille en moi est venu me taper doucement sur l'épaule.

D'abord, je n'avais pas a faire de suppositions (accord numéros 2). Ensuite, le fait que ma copine soit mécontente de mes recherches ne révélaient absolument rien sur moi, mais bien sur elle, ou sur ses croyances à elle. Je n'avais donc pas à le prendre personnellement puisque moi j'avais fait de mon mieux (accord numéro 3 et 4). Et BIM, la sagesse toltèque avait encore frappé.

Depuis que j'ai lu ce livre, au risque de me répéter, je découvre énormément de chose sur moi mais aussi sur mes relations. Tant bien familiale que privée. Je me rends compte que lorsqu'on comprend ce système de croyance, on peut difficilement en vouloir aux gens. Ils ont le droit de croire ce qu'ils veulent, nous n'avons pas sans cesse a devoir démontrer par A+B qu'ils ont torts et qu'ils feraient mieux de suivre notre chemin. Ensuite, partant du principe qu'il ne faut pas faire de suppositions, on peut désormais retrouver la paix et ne plus être déçu parce qu'on pensait qu'un tel dirait ceci, ou qu'une telle ferait cela. Et si jamais, il se trouve que finalement, une personne proche agit à l'encontre de nos idées, n'en faisons pas une affaire personnelle. Parce que ce que ses actes révèlent c'est ce que cette personne est, et non pas ce que nous sommes. Il nous suffit juste de faire notre mieux. Si nous avons fait de notre mieux, et que les choses ne se sont pas passées comme on le voulait, nous n'avons rien à nous reprocher... Puisque nous avons fait de notre mieux.

J'ai encore pas mal de chemin à faire, notamment au niveau de ma parole, qui se doit d'être impeccable. Car comme je te l'ai déjà dit, il est tellement plus facile de critiquer ou de répandre la mauvaise histoire. Seulement je comprends maintenant que ce besoin de le faire, découle juste du besoin d'avoir raison. De s'imposer en victime pour que l'on compatisse à notre cause, qu'on rejoigne nos rangs. Cependant, depuis que je fais de mon mieux dans l'application de ces 4 petits accords, je me rends compte que les relations peuvent être tellement plus facile. Qu'il ne faut pas s'engager dans la voie du désaccord et de la dispute. Que souvent, le combat dépend de notre façon de l'aborder et qu'il nous suffit juste, de décliner l'invitation à y rentrer. Respectant ainsi nous mêmes, mais aussi, l'autre.

Après tout, si nous sommes si sûre de nous, pourquoi avoir tant besoin de le prouver ?

jeudi 10 octobre 2013

Avène et moi.

J'aime être lue. Normal tu dois te dire. Toutes les blogueuses aiment être lues. Mais moi ce que j'aime par dessus tout, c'est être vraiment lue. Je veux dire qu'on puisse me dire : " J'ai lu ton article et je me suis dit que...". Et c'est exactement ce qu'il m'est arrivé il y a quelque semaine suite à mon article sur ma rosacée. J'ai été lue. Et pas par n'importe qui, par la marque Avène. Ils avaient justement lu mon article sur ma nouvelle routine et ma difficulté à trouver mon équilibre. Ils ont jugés bon de me proposer de tester leurs nouveaux produits pour peau sensible et j'ai dit oui. Pour deux raisons : d'abord parce qu'Avène est une marque assez connue dont j'ai entendu beaucoup de bien, mais en plus parce que ce n'est pas une simple marque de produits de beauté. C'est cette marque même que ma dermato m'avait conseillée. Je me suis donc dit que l'occasion était idéale de me faire ma propre idée. Quelque temps plus tard, je recevais ces 3 merveilleux produits. Il s'agit du masque apaisant hydratant, de l'eau thermale et du sérum hydratant apaisant.


Ce qui est drôle, c'est que le soir quand j'ai ouvert mon paquet mon copain m'a dit "Han ! Avène, mon collègue m'en parlait justement, parce qu'il a les mains sèches et que son dermato lui conseillait cette marque, tu sais qu'il parait que c'est bien". Ca alors, non seulement j'étais conquise mais lui aussi. Là dessus il ajoute "tu penses que je pourrais tester le masque ce soir j'ai la peau sèche". Oh mais bien sûre ! J'avais donc deux cobayes pour le prix d'un. Il a testé le masque le soir même avec une pose de 15 minutes. Une twitteuse m'avait dit que je pouvais le poser toute la nuit si nécessaire. Mais il a testé déjà 15 minutes. Son verdict : "Ah oui, elle est vraiment bien". Du coup j'ai testé de mon côté moi aussi, lors d'un bon bain chaud, et tout pareil j'ai été conquise. J'ai réellement vu mon teint plus frais, plus reposé, comme plus tiré. L'application est facile, l'usage aussi.


En ce qui concerne l'eau thermale, je vais avoir un peu plus de mal à donner mon avis. Je l'ai pourtant utilisé tous les matins pendant une semaine, et je sais qu'il est super bon d'utiliser de la bonne eau pour se nettoyer le visage, mais... Je vais avouer, que je ne suis pas sûre de comprendre la subtilité de son usage. Enfin, si. Selon les blogueuses beauté, c'est idéal après un démaquillage et pour remplacer l'eau du robinet. Et c'est vrai, surtout à Bruxelles où l'eau est "calquéreuse", mais, je ne sais pas, j'ai bon savoir tous les bienfaits de ce genre de spray, je pense que je ne suis pas vraiment cliente. Cependant, cela fait 2 jours que j'ai le dos coincé et que j'ai du mal à me baissé pour me plonger la tête sous le robinet, et là j'ai été plus que ravie d'utiliser mon spray pour me réveiller de grand matin.


Enfin, j'ai adoré le fluide. C'est mon petit coup de coeur du lot. Déjà je trouve que les produits de beauté en pompe sont l'invention du siècle. Ca permet de mieux doser la quantité et surtout je trouve ça très hygiénique. Après, le fluide est super, mais super rafraichissant. C'est très agréable de le poser et se sentir fraiche comme la rose. Il pénètre très facilement, et son petit plus c'est que la peau est toute lissée après. Matte. Comme toute neuve. C'est vachement plus agréable qu'une crème classique plus grasse, qui empêche de se maquiller correctement. J'ai quand même un léger léger bémol, après application, genre quelques minutes après, j'ai un peu le sentiment que ma peau colle. Mais c'est assez léger et éphémère. Bref, j'utilise ce fluide le matin, sous ma BB crème, quand je dois aller vite et que je dois vite me maquiller. Idéal pour les matins en retard.


En résumé, belle découverte que ces produits, mais pas de grandes surprise puisque comme je te disais, Avène a énormément de bons échos. Je savais que j'en serais fan. Je conseille ces produits et cette marque les yeux fermés (et d'ailleurs comme beaucoup de professionnel aussi je crois).

Et toi ? Tu connais Avène ? Tu as déjà utilisé leurs produits ? Quels sont tes chouchous ?

mercredi 9 octobre 2013

Swap Cosy Cocooning ♥ Les binômes


A cette heure ci, j'aurais du être au sport, à faire souffrir mes petits muscles au son exaltant de ma prof d’aérobic tenant à peu près ce langage " PLUS HAUT !"... Et m’exécutant péniblement. Oui mais voilà, ce matin, je me suis réveillé la gorge embrumé et le dos en compotée. Coincé est le juste terme. J'ai bien tenté de lutter contre l'envahisseur, me disant que j'étais plus forte que lui, mais je me suis résolue à rentrer chez moi cette après midi, sous l'oeil vigilant de Jules. Et donc, j'ai pu décortiquer les derniers questionnaires. Et j'ai pu faire mes binômes.

Je peux donc désormais lancer officiellement la session du Swap Cosy Cocooning. Yahou ! (mais pas trop fort hein, c'est pour le dos).

Donc! Prenant compte les affinités remarquées sur les réseaux sociaux, les distances, et les questionnaires, voici les binômes créés par mes soins :

1 Odile Justine Boowtie
2 Pmabelle Karosweet
3 Prune Charlyne
4 Melanie Lulu Lipstick
en trinôme avec Andreia et Tatiana
5 Coralie Diamant Dodie la Dodue
6 Emmy Aime Gaëlle Jaillet
7 Tatiana Andreia
8 Miuu Landclochette

Voilà les filles, j'espère que vous êtes toutes ravies. Je vais envoyer un a un les mails avec les questionnaires.

Avant de commencer quoi que ce soit, comme vous l'avez lu dans le questionnaire, je vais vraiment insister sur la COMMUNICATION (oui encore). N'hésitez pas à harceler votre swappée pour en savoir le maximum sur elle et sur ses goûts. Visitez son blog, posez lui des questions, voyez ou vous en êtes, etc...
Si vous avez le moindre problème, n'hésitez pas à me contacter. Vraiment !

Je rappelle que le budget de la boite est de 30€ SANS LES FRAIS DE PORT. Bien sûre entre vous, vous pouvez augmenter ce budget mais merci de m'en faire part (ainsi je pourrai checker correctement les boites).

En ce qui concerne les envois, je vous suggère de passer par des organismes tels que Mondial Relay ou Kiala (vu les jolies choses que la Poste peut faire). Je l'ai déjà fait plusieurs fois (même via Belgique - France) et ce, sans problème.

Vous avez jusqu'au 4 novembre pour préparer vos boites. La semaine du 4, je vous demanderais de m'envoyer une photo de votre boite pour la valider avant l'envoi. J'aimerais, si possible, qu'on envoi nos boites toutes en même temps, du moins la même semaine, comme ça on les recevras toutes en même temps aussi. N'oubliez pas de bien relire l'article de base avec ce que la boite doit contenir (juste ici).

Et enfin, surtout, amusez vous !!

La suite, se fera par mail !

dimanche 6 octobre 2013

Briser ses croyances pour passer de nouveaux accords.

Il y a quelques années, je me rappelle c'était en hiver, j'avais un moral au plus bas. De ce genre de moral dont tu n'arrives pas à te sortir. Cette année là, j'ai décidé d'aller voir un psy, j'avais besoin de quelqu'un d'extérieur à qui je pouvais parler, et surtout, qui ne me jugerait pas. Cette "thérapie" m'a fait énormément de bien, mais malheureusement, elle n'a duré que 6 mois. Fautes de moyens. Je dis "malheureusement" mais le fait d'arrêter cette thérapie, m'a poussé à trouver d'autres moyens pour apaiser mon esprit. Et c'est comme ça que j'ai commencé à lire des livres de développement personnel. Plus les années ont passés, et plus ces livres sont devenues une drogue pour moi car ils m'ouvraient des portes et des réflexions toutes nouvelles. Je me suis donc inscrite à la bibliothèque et j'ai continué à lire, lire, lire. Comme à la recherche du savoir infini. On pourrait se demander aujourd'hui si à force de brasser toute ses psychologies, je ne deviens pas marteau, ne sachant plus ou donner de la tête, mais en fait, pas du tout. Comme pour toutes expériences dans la vie, il y a des choses qui me marquent plus que d'autres. Des lectures que je retiens, d'autres que j'oublie. Mais parfois, il y a un phénomène vraiment magique qui se produit et je tombe sur des livres qui me donne la claque que je devais recevoir. Ça ne se produit pas souvent, mais quand je tombe sur un de ces livres là, et étrangement, ce sont souvent les livres que l'on me conseille de lire, je me sens comme Indiana Jones qui aurait enfin trouvés l'Arche Perdu. J'ai eu ça avec le livre "le Secret", qui a été la première grande révélation de ma vie et qui m'a ouvert les portes du positivisme, livre que j'ai lu plus de 10 fois et dont je voue un culte suprême. Puis avec "Ne vous noyez pas dans un verre d'eau (2 tomes)" qui m'ont donné des pistes de bienséances. Et ce week-end j'ai été éblouie par "Les quatre accords toltèques" de Don Miguel Ruiz, conseillé par la formidable Marie.

Parmi tous les livres que je suis amenée à lire (les 3 précités compris), il y a certains points qui reviennent fréquemment. Le fait par exemple, que le bonheur doit venir avant tout de soi. Mais le fait aussi que beaucoup de choses se jouent durant notre "éducation". Par éducation j'entends aussi bien celle que nos parents nous donnent, que l'éducation scolaire, ou que celle reçue de la société, de la famille, de l'entourage. Toutes ces choses qui font ce que nous sommes. Cependant, dans la plupart des livres que je lis, tous ne m'apportent pas les réponses souhaitées. Ils ne creusent pas assez, ou alors ils partent d'une réflexion que l'auteur a rendu plutôt personnelle. De ce fait, la magie ne prend pas, rien ne résonne. Ce ne sont pas des mauvais livres pour autant, que du contraire, mais je pars du principe que si j'oublie 6 mois plus tard ce que j'ai lu, ce que je n'ai pas eu le choc intérieur que je voulais avoir. Choc que j'ai eu en lisant Don Miguel.

Vois-tu, nous grandissons tous avec un tas de croyances. Comme je le disais, nous recevons ces croyances de tout azimut : nos parents, nos frères/sœurs, nos amis, les professeurs, la société,... Et cet ensemble de croyance, fais de nous, ce que nous sommes. Il constitue ce que nous appelons notre personnalité. Il constitue nos buts, nos objectifs, notre façon de vivre et de réaliser nos rêves. Parmi ses croyances, nous en avons certaines que l'on nous a appris pour nous éduquer, d'autre que nous avons choisies de notre propre gré, et d'autres qui se sont glissées de façon insidieuses sans même que l'on s'en rende compte. Et nous avons fait notre bonhomme de chemin, avec un système de croyance qui nous était propre, cherchant d'une certaine façon à établir auprès d'autrui (et de nous même) notre vérité. Nous frottant parfois aux disputes en voulant à tous prix avoir raison. Ce qui est normal, puisque c'est ce que nous croyons.

Par exemple, ma mère m'a toujours répétée que "non, vraiment, on ne porte pas du marron avec du noir". C'était comme ça. Et tout le temps où j'habitais chez mes parents, ce n'était même pas imaginable que de porter ces deux couleurs ensembles. Tanpis si nos chaussures n'allaient pas avec notre tenue (oui parce que des chaussures marrons avec des collants noir, c'était niètt'). Longtemps donc, j'ai grandis avec cette croyance que si je sortais avec du marron et du noir j'allais me sentir extrêmement mal. Jusqu'au jour où, habitant seule, faute de temps et d'idées, j'ai porté mes bottines marrons, avec ma robe et mes collants noirs. Et tu sais quoi ? Rien ne s'est passé. Absolument rien. Aucun regard de travers, aucune remarque. Tu dois rire en lisant ça, mais le jour où j'ai compris que je pouvais aisément associer le brun avec le noir, j'ai ouvert une nouvelle porte. 

Ce que j'ai compris en lisant les accords toltèques, c'est que ce jour là, j'avais en fait brisé une de mes croyances, créant un nouvel accord avec moi même. Je ne peux pas en vouloir à ma mère, parce qu'elle croyait réellement que le brun et le noir ne vont pas ensemble (et croit toujours d'ailleurs). C'est sa croyance, et peut être que c'était la croyance de ma grand mère aussi. Mais voilà, j'ai rompu le cycle, j'ai créé un nouvel accord, une nouvelle croyance qui m'est propre.

J'ai pris là un exemple relativement facile, des ces choses que nous faisons adultes, qui nous était interdit petit. Comme de faire la grasse mat' ou de manger avec ses doigts. Ces règles que nous brisons avec joie en nous rendant compte que finalement, rien ne nous arrive, et que le monstre n'est pas sorti de notre assiette. Et d'ailleurs, toutes ces petites croyances ne nous font pas beaucoup de tort. 

Seulement, si le système de croyance était si facile à briser on n'en serait pas là. Je n'en serais pas là. Parmi toutes ces croyances, il y a aussi celle qui t'empêche d'avancer, qui t'empêche d'accepter de nouvelles croyances, qui t'empêche de mener des relations épanouies parce que tu es trop occupé à vouloir faire entendre raison. Ce week end par exemple, j'ai mis le doigts sur une autre croyance, celle qu'un petit garçon m'avait mis dans le crâne un jour "Toi, tu es une morue, tu es un thon et tu es une boulette". Au delà du fait qu'il m'avait appelé par tous un tas de noms de nourriture invraisemblable, cette croyance m'a pourris la vie et me la pourris encore. Elle m'empêche par exemple de me regarder dans un miroir et de me dire que je suis jolie. Parce que je ne le crois pas. Parce que j'ai grandis avec la croyance que je suis moche. Que j'ai agis toute ma vie, en me tenant et en parlant, comme une moche, puisque c'est ce que je croyais. Je ne peux pas en vouloir à ce garçon, peut être que c'est ce que son grand frère lui disait, c'était peut être sa croyance. On aura beau me dire que ce garçon était stupide et méchant, c'est comme ça, je l'ai cru, et aujourd'hui, je dois briser ma croyance.

C'est pour ça que ce livre a réveillé en moi tant de choses. Suite à ma série d'article sur mon envie de changer de look, et cette prise de conscience que derrière cette envie se cachait surtout un complexe, je peux désormais relier ce complexe à une croyance, et briser cette croyance. Comprendre d'où elle vient, et faire mon propre cheminement. Comme avec le marron et le noir.

Aujourd'hui, j'ai décidé de m'engager à suivre les 4 accords toltèques, mais aussi, à faire le tri parmi mes croyances. Détecter celles qui m'empêche d'avancer et qui m'empêche de m'accepter. Mettre le doigt sur ces croyances qui ne sont pas les miennes mais bien celles de la société. J'ai envie de briser ces règles, ces clichés. Les empêcher de se répandre comme un virus. Ce n'est pas une révolution, ce n'est pas un challenge, c'est juste, de comprendre que vivre avec certaine croyance ne me rendront jamais heureuse. Parce que certaine croyance sont du poison pour l'esprit. Donc aujourd'hui, je m'engage à toujours faire de mon mieux, pour que ma parole soit impeccable, sans suppositions absurdes et sans en faire une affaire personnelle. J'ai décidé de retrouver ma liberté et de faire de nouveaux accords avec moi même, à commencer par celui ci : m'accepter telle que je suis.

C'est tentant, non ? Et si tu faisais de même...


Crédit photo : Maman in Portland

samedi 5 octobre 2013

Swap Cosy Cocooning ♥ Les participantes

Voilà l'heure tant attendue des résulats pour le Swap Cosy Cocooning. Avant de t'en dire plus, je voulais comme te dire que cela a été un vrai casse tête pour choisir. D'abord parce que, je ne sais pas choisir, ensuite parce que vu le nombre de participations reçues, je savais que la moitié des filles seraient déçues. Et moi, je n'aime pas ça, décevoir des gens. Mais voilà, c'est comme ça, c'est le jeu. Saches qu'il n'y a absolument rien de personnel. Le choix c'est fait comme je l'ai dit en fonction de l'activité des personnes ou non sur les réseaux sociaux, sur son blog, par mail, sur mon blog, etc.... Il est extrêmement difficile de placer sa confiance dans des personnes ou jamais vues, ou jamais lues. J'espère que tu comprendras.

J'ai essayé de choisir parmi les têtes qui me disaient quelques choses. De par leur activité donc, mais aussi par des échanges de mails fait auparavant, mais aussi, en fonction des disponibilités et des demandes de chacune par rapport à sa région, ses possibilités d'envoi etc....

Donc voilà, je ne vais pas te faire languir plus longtemps, voici les 15 swappeuses du Swap Cosy Cocooning.


1. Justine du blog Cupcake & Nail Polish
2. Karosweet
3. Pmabelle
4. Prune (qui se reconnaitra qui n'est pas blogueuse)
5. Charlyne (idem, non- blogueuse)
6. Lulu Lipstick
7. Coralie de Diamant sur Ongle
8. Emmy du blog Emmy Aime
9. Tatianna Rennes de Piques
10. Miuu du blog Miuuzine
11. Marie Paillette
12. Dodie la Dodue
13. Gaëlle Jaillet
14. Andreia du blog 10 tubes
15. Land Clochette

Voilà les filles, vous allez recevoir un mail ce week end, avec un questionnaire à remplir. De là, je vous informerai des binômes et la suite continuera de soi-même.

Toutes les infos du swap se trouvent ici, mais voici déjà un petit reminder

La boite :
Elle devra avoir une valeur de MINIMUM 30€ Frais de port non compris. Au moment des binômes, à vous de vous arrangez entre vous pour augmenter le prix ou non (mais dans ce cas, merci de m'en informer pour les derniers contrôles).

Elle devra comprendre au MINIMUM et obligatoirement:
- d'un objet fait main (une carte, la boite en elle même, qqch qui se mange, un bijou, un dessin, peu importe)
- un vernis
- un produit de beauté (make up ou soins)
- une lecture (magazine ou livre en accord avec les goûts de la swappeuse) 
- un objet de couleur blanc cassé (peu importe mais ça doit être autre chose que ceux cité ci dessus ) 
Tous les colis seront à envoyé à partir 05/11 après vérification des boites par mail et via photos. Mais ne vous inquiétez pas, je vous rappellerai tout ça dans votre mail avec votre questionnaire.
Je suis un peu en avance sur le planning. Ce qui veut dire que ça vous laisse un peu plus de temps pour remplir le questionnaire que j'enverrai ce week end. Il faudra me le renvoyer remplie pour jeudi soir au plus tard. Je vous informerai par mail le week end prochain de votre binôme. Je compte vraiment sur votre sérieux et votre esprit de partage.

Voilà Voilà ! Merci à toutes pour votre engouement, et à très vite pour la suite du swap.